Without Model a produit 5 recherches pour contribuer à généraliser les modèles économiques ouverts, collaboratifs et responsables. Elles se sont incarnées par des publications sur le site, des ouvrages, des ateliers et des méthodologies.

 Social Impact Business models (2018)

Insertion professionnelle, lutte contre l’exclusion, démocratisation de l’accès aux services, égalité des chances, respect de l’environnement, diminution des déchets, commerce équitable, … les initiatives qui cherchent à résoudre une problématique sociale sont de plus en plus nombreuses.

Portées par des entreprises, des associations ou des grands groupes, beaucoup d’entre elles ont choisi de s’appuyer en totalité ou en partie sur une activité commerciale afin de financer ou réaliser leur impact.

Comment ces organisations parviennent-elles à produire au sein de la même entité deux types de valeur qu’on longtemps posé en alternative, la valeur sociale et la valeur économique ? Comment gérer la tension entre un modèle marchand et une finalité sociale ? La construction d’un modèle économique viable est au coeur de cette tension et constitue une clé du passage à l’échelle.

Open models for sustainability (2016)

Avec Open Models for sustainability nous souhaitons répondre à une question : à quelles conditions les modèles ouverts contribuent-ils à répondre aux défis environnementaux.

Lors de la préparation de la COP21 en 2015 à Paris, les publications, conférences et événements se sont multipliés, nourrissant le débat sur les modalités de la transition énergétique. Parmi les solutions mises en avant pour contribuer à résoudre les défis de la transition, certaines s’appuient sur des modèles ouverts ou décentralisés. Nous avons participé en particulier à deux initiatives qui ont constitué des échos productifs aux questions liées à la finalité des modèles ouverts : POC21 (un incubateur temporaire de projets open source contribuant à la transition écologique) et Transitions2 (un programme de la Fing pour identifier les voies complémentaires des transitions numérique et écologique).

Ce livre présente une synthèse et des extraits du travail qui s’est déroulé entre septembre 2015 et juin 2016 pour répondre à cette question. Des éléments complémentaires sont disponibles sur les sites de poc21 (poc21.cc) et de Transitions2 (transitions2.net).

Open models (2014)

Partout, l’ouverture gagne du terrain. D’abord réservée à une petite communauté de passionnés, la philosophie de l’open est en train de percuter de plein fouet l’économie « traditionnelle ». Industrie, éducation, culture, science, et bien sûr information et data… dans tous les domaines, on se met à ouvrir ses données, ses savoirs, ses petits secrets de fabrication. Pourquoi ?

Parce qu’un nouvel esprit collaboratif souffle sur le monde, mais surtout parce que les anciens modèles fermés, verticaux, ont démontré leur impuissance dans une économie bouleversée par Internet et la technologie.

Ce livre dresse un premier état des lieux de ce changement majeur de civilisation. Il décrypte les effets les plus flagrants de ce changement de paradigme majeur.

La valeur économique du Self data (2016)

Après deux éditions du cahier d’exploration MesInfos (en 2013 et 2015) qui ont permis d’identifier un certain nombre de défis du Self Data, la Fing et Without Model ont mené un travail spécifique sur l’un d’entre eux : le défi économique.

Le Self Data promet beaucoup en termes de valeur : des marchés plus efficients, de nouveaux services (donc de nouveaux marchés) au bénéfice du consommateur, des bénéfices indirects en termes de confiance ou de fidélité pour la marque… Ces promesses nécessitent que des acteurs différents (détenteurs, fournisseurs de services, plateformes…) y trouvent leur compte.

Au cœur de ce défi, l’enjeu des incitations qui conduiraient les organisations à restituer les données aux utilisateurs se fait plus saillant :  alors que leurs données sont présentées comme l’un de leurs principaux actifs, quelle valeur économique les détenteurs de données peuvent-ils générer et/ou capturer en partageant ces données avec leurs clients ou usagers ?

C’est sur cette question que ce se concentre ce livret. Issu d’un travail collectif rassemblant des acteurs divers lors de la saison 4 du projet MesInfos (année 2015), il s’appuie sur des cas existants – analysés au travers d’une cartographie – afin de dessiner des scénarios de création de valeur pour les détenteurs ainsi que des pistes pour les expérimenter.

Fab4 Revolution (2012)

Une étude collaborative pour analyser comment Les Fab 4 (Facebook, Google, Amazon et Apple) font évoluer les marchés non numériques.